1ère quinzaine :
Mis à part le 1er ou le 2 (dégradation dans le Sud-Est particulièrement), l'absence d'activité solaire ferait que les hautes
pressions seraient les reines sur l'Europe centrale : du coup, c'est un flux de Sud à dominante anticyclonique (temps doux, et sec
la plupart du temps) qui se produirait.
Les 7 et 8 verraient une légère hausse du flux de protons favorisant le passage d'une perturbation assez active au niveau du vent
sur l'ensemble du pays sauf le quart Sud-Est où le Levant favoriserait un temps sec.
Une hausse du champ magnétique terrestre sur l'Europe centrale ferait que le temps y serait agité ; dans le même temps, pas
d'activité solaire visible sur les îles britanniques ce qui laisse penser à une hausse du champ de pression dans ce coin de l'Europe
: entre le 9 et le 11, c'est un flux continental qui sévirait sur l'ensemble du pays plongeant le mercure bien en-dessous des normes
de saison et maintenant un temps désespérément sec !
Ce même champ magnétique terrestre serait en légère hausse sur l'Ouest de l'Europe permettant un éventuel (faible ?) arrosage
du Nord du pays entre le 12 et le 15 ce qui permettrait au mercure de stopper sa descente vertigineuse.
2ème quinzaine :
Du 16 au 18, une nette hausse de la luminance sur l'Europe centrale ferait grimper la pression atmosphérique sur cette partie du
globe tandis que le système dépressionnaire situé sur l'Islande n'aurait que peu d'influence en terme de nébulosité sur le Nord du
pays : du coup, une hausse du mercure serait d'actualité ramenant la température moyenne globale dans les normes de saison.
Cependant, le champ magnétique terrestre est prévu très variable ce mois sur l'Europe de l'Ouest : nous en aurions la preuve
entre le 19 et le 22 avec une dégradation majeure sur le Sud-Est pouvant remonter sur le Nord de la France en fin de période ; les
températures en profiteraient alors pour être de nouveau au-dessus des normes de saison.
Pour le reste du mois, aucun paramètre solaire ne semble prendre l'avantage sur l'autre ce qui fait qu'ils se compensent : dans ce
cas, les hautes pressions seraient fortement ancrées sur l'Europe centrale tandis que le système dépressionnaire essaierait tant
bien que mal de se manifester sur les îles britanniques.
Concrètement, le temps serait sec sur l'ensemble du pays mais aussi doux pour la saison !
Flux dominant :
Sur le Nord du pays : Sud.
Sur le Sud du pays : Ouest/Sud.
Bilan :
L'automne météorologique porterait décidément mal son nom avec une absence de dégradation durable et des situations de blocage anticyclonique interminables !
Seul le Sud-Est pourrait résorber (le mot est fort tout de même !) une partie de son déficit hydrique.
vendredi 20 mars 2009
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